Revoilà, Jean-Christophe « L’incruste »

Le condamné récidiviste continue à représenter la Ville de Drancy.

Source Espace culturel du Baillet samedi 27 avril 2024

Source facebook samedi 18 mai 2024

L’école maternelle Jacques Jorissen au Village Parisien de Drancy, visite de chantier 2024 avec « JC L’incruste » toujours exemplaire par sa condamnation. (sources Facebook ville de Drancy, Aude Lagarde)

Une maire de Drancy qui laisse faire, alors qu’il n’a aucune écharpe, et a encore huit mois d’inéligibilité pour n’avoir pas été un élu exemplaire…

Le Pédigrée du condamné et /ou soupçonné

Source presse, internet, Wikipédia

« Le droit à la probité doit évoluer »

« Depuis les années 70, une quarantaine de textes ont été publiés pour promouvoir la probité et réduire la corruption dans les mandats électifs. Mais ce système reste imparfait, comme le montre l’abstention aux élections. Exiger un casier judiciaire vierge de certaines infractions pour se porter candidat va dans ce sens.
Les détracteurs avancent souvent que cette proposition serait inconstitutionnelle au motif que, depuis 1999, la jurisprudence du Conseil constitutionnel a évolué sur le fondement des principes de nécessité et d’individualisation des peines, de sorte que les peines automatiques sont interdites. C’est ce qui a poussé le législateur de 2017 à imposer la peine d’inéligibilité pour des infractions à la probité obligatoire et non automatique, le juge pouvant par décision motivée décider de ne pas la prononcer. Or il ne s’agit pas, en ­l’occurrence, d’une peine au sens de la sanction pénale, mais d’une incapacité ! Le même conseil avait estimé que des citoyens peuvent être privés de leur éligibilité notamment pour une raison d’âge. En 1992, le législateur supprime l’interdiction d’inscription sur les listes électorales des individus condamnés pour certaines infractions. Mais il le fait de sa propre volonté et non d’une obligation issue de la jurisprudence du Conseil !

A Anticor, nous militons pour que cette mesure s’applique aux élections nationales. Nous pensons que les infractions criminelles et à la probité doivent être a minima concernées. Un débat doit avoir lieu pour décider si d’autres infractions sont ajoutées. Le droit à la probité doit évoluer pour endiguer les réélections d’élus condamnés à des peines d’inéligibilité sitôt que leur peine a été exécutée. Dans ces situations, les électeurs eux-mêmes sont en conflit d’intérêts : on vote pour l’élu qui a accru les services au prix d’un lourd endettement de la commune et d’argent détourné, plutôt que pour celui qui va augmenter les impôts pour faire face à cet endettement. »

« Une proposition qui peut être contre-productive »

« Aujourd’hui, la loi permet au juge de prononcer, lorsque certaines infractions pénales ont été commises, une peine d’inéligibilité qui empêche l’auteur des faits de se présenter à une élection. Cet état du droit semble être suffisant. Prévoir de remplacer une telle sanction par une incompatibilité automatique et absolue à se présenter à un mandat électif peut être dangereux : des responsables politiques mal intentionnés pourraient alors écarter des adversaires politiques. Et limiter l’application d’une telle incompatibilité uniquement à quelques infractions apporterait peu de choses au droit actuel, qui concerne déjà certaines infractions de presse ou financières.

Faudrait-il ajouter d’autres infractions ? Si oui, lesquelles ? Les crimes sans doute ! Dans ce cas, Y­annick ­Jadot, condamné pour atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation, n’aurait pas pu se présenter à la présidentielle. Faudrait-il aussi l’appliquer aux délits sexuels ? Aux violences sur les mineurs ? Aux violences conjugales ? Et où s’arrêter alors, et quid de la désobéissance civile ? La vraie question est de savoir s’il est souhaitable qu’une telle incompatibilité existe. Les élus doivent-ils être exemplaires ? Si une avocate, un médecin, une ouvrière, un paysan ou un homme de ménage peuvent être de bons élus, pourquoi pas un ancien condamné, voire un ancien prisonnier ? Il pourrait éclairer sur les conditions de détention et sur les besoins de la justice ! Surtout, la légitimité provient du vote, de rien d’autre.

Si les citoyens ont soif d’exemplarité et de probité, qu’ils votent en conséquence. Désormais, la diffusion de l’information est telle que les citoyens n’ont plus l’excuse de l’ignorance. De nombreux candidats n’ayant pas un casier judiciaire vierge sont élus malgré tout, ce n’est donc visiblement pas une revendication populaire. Aux journalistes d’informer, aux partis politiques d’investir des candidats dignes. Il ne revient pas à la loi de choisir à la place des citoyens, libres et éclairés. »

Source gazette des communes

Juste Citoyen Drancy

UN CENTRE CULTUREL DE 3300 VISITEURS SANS PARKING

Une folie des grandeurs inadaptées, 500 personnes à l’inauguration alors que les 250 sont déjà excessifs.

Mais la Majorité UDI, LR, LREM, sait-elle compter, vu ses budgets et projets recalés, retardés et en diminution de jauge. (Médiathèque, Espace culturel, Parking Stade nautique, Bowling promis aux vœux des jeunes…)

N’oublions pas le surfacturé de 8 millions qui seront payés par nos impôts de Drancy

Un Parking Partagé « COMMERCE-CULTUREL »

DE 350 PLACES

Cinémas, artistes, techniciens, accueil, spectateurs, la jauge de l’espace culturel est de près d’un maximum de 3250 individus. La municipalité dans sa haute réflexion « Seule, j’ai toujours raison » compte donc que 5 % des spectateurs viendront en voiture. Et quand vous ferez vos courses, seule 185 personnes seront en voiture. Le magasin de Bricolage, on ne sait, si celui-ci aura aussi un parking partagé… (Les 3 cinémas, à eux seuls, avec les séances répétitives, utiliseront 1000 spectateurs (2 x 500 personnes en séances, décalés spectateurs et en attente, billetteries, leurs véhicules les attendant)

Oh, le joli Parking, très visible, en SILO…

Le coût moyen de la construction d’un parc de stationnement à étages ou parking silo s’élève à environ 8 000 € HT/place. Ce prix à la place est calculé pour un parking de 300 places en R+2 (soit 100 places par niveau) et de maximum 25 m²/ place (rampes incluses). Il englobe tous les aspects constructifs de la conception à la réalisation clés en main du parking.

Lavantage économique avec un coût de construction réduit de plus de moitié par rapport à un parking souterrain.

L’inconvénient des parkings aériens à étages peut résider dans son impact esthétique dans l’environnement.

SOYONS CLAIRE, LE SECTEUR AVENUE MARCEAU, SERA IMPRATICABLE POUR GARER SON VÉHICULE PAR LES HABITANTS DES ALENTOURS.

Où seront les emplacements cars ?

On notera que le Parking actuel de l’espace culturel contient 120 places, soit 10 % de la jauge du lieu culturel.

On peut voir ici la même surface utile.

L’espace culturel est à 1000 mètres de cet emplacement.

JC Drancy « Juste Citoyen« 

QUAND ON S’ATTAQUE AU JOURNALISTE, ON S’ATTAQUE A NOS LIBERTÉS D’INFORMATION A DRANCY.

Extrait du livre

extrait interview Europe 1

Et pendant ce temps en 2024, la ville de Drancy met en avant un condamné signataire, dans les murs du nouvel espace culturel…

Mille dans le groupe Vivre Drancy

Un premier pas…

Une information citoyenne…

Suivez Vivre Drancy et les habitants sur le groupe VIVRE DRANCY

TRANSPARENCE EN MUSIQUE A DRANCY

Un nouvel espace bien tardif à Drancy

Moniteur annonçait en 2022, une livraison pour la rentrée 2024

C’est donc un coup double, payé par l’impôt à Drancy, payer par l’impôt à terres d’envol..

Pourtant, il avait dit le contraire sur le site de la ville de Drancy

Du plus sans surcout d’impôts à Drancy ?

1 salle de cinéma de 100 places, de 150 places, de 250 places alors qu’il existe un cinéma de 370 places actuellement. Pour son pôle cinéma, l’Espace culturel table, « en restant raisonnable », sur 80 000 entrées annuelles et une ouverture sur le 1er semestre 2025 Résultats +130 de places à quels prix sur nos futurs impôts ?

Salle polyvalente, 800 assises (+ 50 gradins) présentement à l’ancien espace culturel pour + 200 de plus (1000) et 750 en gradins à quels prix sur nos futurs impôts ?

Théâtre, passage de 370 à 750 places (+ 380), à quels prix sur nos futurs impôts ?

Le profil des structures suivant l’importance de leur billetterie


Structures vendant moins de 5 000 billets par an : ce sont plutôt des compagnies, festivals ou lieux polyvalents, dotés d’une programmation au spectacle, ne proposant pas de formule de fidélisation de leur public et donnant moins de 50 représentations par an, dans des lieux en gestion propre offrant plus de 100 places. Leur billetterie est majoritairement manuelle. Ils n’ont pas de personnel spécifique de billetterie et vendent essentiellement
dans le lieu au moment du spectacle. Ils n’ont pas de partenariat tarifaire avec d’autres lieux de spectacles vivants.


Structures vendant entre 5 000 et 10 000 billets par an : elles sont situées plutôt en zone périurbaine. Elles donnent moins de 50 représentations par an, leur jauge est située entre 100 et 500 places (placé et/ou debout), leur billetterie est plutôt manuelle. Elles ne disposent pas de personnel de billetterie spécifique.


Structures vendant entre 10 000 à 25 000 billets par an : pour un tiers de l’effectif, ce sont une cinquantaine de théâtres de ville. Ces structures donnent entre 50 et 100 représentations par an et la jauge de leur salle est importante (500-700 places). Leur billetterie est informatisée.


Structures vendant entre 25 000 et 50 000 billets par an : elles sont majoritairement urbaines. Parmi elles, figurent une vingtaine de scènes nationales. Elles donnent de 100 à 150 représentations par an. La jauge de salles se situe autour de 500 à 700 places. Elles utilisent la presse nationale ou spécialisée pour communiquer sur leurs spectacles. Elles disposent d’un personnel spécifique pour leur billetterie qui est informatisée.


Structures vendant de 50 000 à 100 000 billets par an : elles sont situées en zone urbaine et sont majoritairement des sociétés. Elles donnent entre 100 et 150 représentations par an et leur(s) salle(s) jaugent entre 700 et 1 000 places. Leur billetterie est informatisée. Une sur cinq environ (soit une dizaine d’entre elles) utilise son propre site Internet pour vendre des billets.


Structures vendant plus de 100 000 billets par an : elles sont une vingtaine, majoritairement situées en Île-de-France. Ce sont des sociétés (SARL…) et, parmi elles, essentiellement des théâtres et structures privés en lieux fixes donnant plus de 200 représentations par an. Leur billetterie est bien sûr informatisée. Elles utilisent plus que
les autres lieux, les agences spécialisées pour vendre leurs billets mais aussi Internet (sur un autre site que le leur).

*en gras le projet et l’ancien centre culturel

L’ancien centre culturel à 8 millions d’euros année 1993 (31 ans)

L’appel d’offre source en ligne

le site architecte gagnant

Surcout à 33 millions d’€uros, 8 millions d’euros soit le prix de l’ancien espace culturel en plus !!!

Avec 710 places en plus à 25 millions d’€uros soit 35 211 € la place supplémentaire.

ET PAS DE PARKING !!!

POUR LE POTENTIEL 3500 SPECTATEURS

Pourtant, il avait aussi dit l’inverse sur le site de Drancy

Les parkings ouverts à Drancy en 2024

Titre Gazette 2023, un parking des surfaces commerciales, mais pas pour l’espace culturel pouvant recevoir 4 rotations de 500 spectateurs cinéma, 1 théâtre de 750 places et une salle polyvalente de 1000 à 1800 places

Mais, où sont les places pour les spectateurs véhiculés ? La Ville et terres d’envol n’ont rien prévu ?

Se servir des parkings des 2 magasins Bricorama et Intermarché ne peuvent être utilisés simultanément avec l’espace et ses 4 structures cinémas, accueil, salles de théâtres et salle fêtes..

ELLE EST OÙ LA PRIORITÉ, SI CE N’EST VENDRE LE TERRAIN ET LE PARKING DE L’ESPACE CULTUREL ACTUEL

Une énième promesse de départ de Victoria

Trois ans que cela dure…

Trois rassemblements citoyens non-stop des habitants du quartier

TRIBUNE AUDIO DRANCY, MAI

2 ans d’enfer, des mesures incorrects de la ville de Drancy, et pas d’amende journalière payante du patron de Victoria ? Mais que fait la Maire ? Des photos…

Un espace culturel virtuel

QUI PAYE ? LES HABITANTS DE DRANCY A CONTRARIO DES DIRES DES ÉLUS DE LA MAJORITÉ